Le Brouillon

La magie des larmes
Libère l'âme d'un poids
Des larmes de joie nous désarment
Vive les larmes !!


Communiquer, échanger des pensées
Des sentiments.
Les mots sont-ils justes pour celui qui parle
Comme pour celui qui entend ?
Forcément réducteurs,
Pourtant ils peuvent faire mouche
Ainsi sont les mots qui sortent de nos bouches.


Quand l'espace
N'a plus sa place,
Les atomes
Deviennent fous !


Mort aux rats
Mors aux dents
Mords le doigt
Qui se tend


Un passage passe,
Un massage masse,
Un glaçage glace,
Que fait le sage ?
Il fait face...


Etre soi et s'en foutre
S'en foutre et rester droit
Et aimer coûte que coûte...


Un torrent qui court
Glisse sur le rocher
En silence méditer
Pour ne pas rester sourd.



~rahansor~ le 25-01-2008 à 13:54
 

C'était juste pour partir,
Un sentiment que l'on retient,
Une chose qui nous fait souffrir,
Mais que l'on gardera sien.

Je sentais en moi cette impression,
Cette envie de feu, de rubis et de chant,
Comme une musique que l'on écoute éternellement,
Que l'on ne se lasse pas d'écouter, juste en fond,
Une Folie qui poussera plus à se taire qu'à parler,
Qui donnerait une souffrance que l'on ne peut pleurer.

C'est la Vie, tout simplement,
Qui frappe à ma porte,
Et qui entre de telle sorte,
Qu'elle fait partie de mon sang.

Comme une brise d'enfer qui soufflerait,
Apportant destructions et châtiments,
Qu'en mille facons je mourrais,
Et que tout m'a paru si lent,
Que je me demande où en est la Fin,
Pour pouvoir mettre mon âme en son écrin.

Comme un joyau à chérir pour toujours,
Elle qui souffrit à chaque jour,
Que je ne pus consoler à grande peine,
En oubliant le plus possible,
Ce sentiment terrible, peu amène,
Que la Vie me restera incompréhensible.

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Ô quel désespoir sentez-vous, quand vous hurlez ?
Est-ce toute la peine d'un monde que vous sentez ?
Vous n'avez pas à en porter le poids !
Ce n'est pourtant pas à vous de prendre cette charge,
Laissez à d'autres la condition d'Atlas,
Et reposez-vous, dormez, mourrez en paix.

Je veille sur vous.

Laissez-moi le poids de ce monde,
Laissez-moi la porter toute entière,
Que je pleure en sentant sa douleur,
Que je crie cette souffrance qui me déchire l'âme.

Je veille sur eux.

Je peux prendre votre place,
Ne vous inquiétez pas pour votre peuple,
Humble je dois rester, et ainsi couronné,
Je porterais ce monde,
Tandis que lui-même court vite,
A sa gloire,
Ou à sa perte.

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Voyez vous la pluie couler sur les toits du monde?
Entendez vous le bruit des gouttes s'écrasant au sol?
Ressentez vous le monde qui laisse couler ses larmes?


Vous qui marchez sur ce chemin sans fin,
trempés par les larmes de cette Terre,
Levez la tête et voyez...


Tandis que le monde noircit, à la fin du jour,
la pluie tombe doucement.
Vous pensez à votre vie,
et ce que vous ferez de ce qu'il vous en reste...
Bonheur, malheur, tristesse et joie,
les peines se partagent avec les rires,
et vous vous dites...


Dans ce monde qui noircit, à la fin du jour,
je repense aux bons moments,
et au diable la haine, la tristesse et la Mort,
car finalement,
la vie n'est pas si moche,
car finalement,
le monde pleure pour nous...



~Bartiméus~ le 29-02-2008 à 14:01
 

Je suis un inconnu,
Tu ne me connais pas ...
Ce sont des paroles connues
Chez les gens qui ne se prononcent pas ...

Je te poursuis,
Jamais je ne te perds ...
Au bout de chacun de mes vers,
Tu découvres mes envies.

Dans la ville, ou où que tu sois
Mes pieds suivent chacun de tes pas.
Car depuis l'instant où je t'ais vue,
Mon coeur pour toi s'est perdus

Maintenant si tu disparaîs,
Jamais plus je ne serais ...
Qui suis-je, Où vais-je ?
D'où viens-je, Que faire ... ?


Paisible je te laisse,
Car je sais que je t'agace ...
Désolé de te mettre mal à l'aise
Mais cette force me surpasse ...
Car Je T'aime


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Le vent dans les cheveux,
Il est amoureux.
Il à le coeur qui bat,
Le visage en émois.
Ces yeux verts brillent,
Une image scintille.
Celle d'un paysage sublime.
Dans son coeur une hymne,
L'hymne de l'amour,

Qui ne se chante que le jour.
Hélas il fait nuit,
Il la garde pour lui.
Il avait été la voire,
Lui avait donner son âme
Avec beaucoup d'espoirs,
Mais ce n'était pas la bonne arme ...
Il a échoué,
Elle a refusé,

C'est pour cela maintenant
Que cet homme tombe,
Tout semble si lent
Lors des dernières secondes.
Une lumière l'éblouis,
Il reprend ses esprits.
Mail il est bien trop tard
Car c'est au pied du phare
Qu'ainsi se fini
Cette bien courte vie.


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C'est la femme parfaite ...

Parfois mystérieuse,
D'autre fois joueuse ...
On ne la voit pas toujours,
Mais chacun la découvre ...

Elle est parfois douce,
Et se faire attendre ...
Elle donne la frousse
Quand elle n'est pas tendre !

On la frôle de temps en temps ...
Mais nous berce si souvent,

Elle ne fait pas de différence :
Enfant, vieillard ou dans l'adolescence,
Elle nous aimes tous,
Elle observe notre course ...

Elle attend le bon moment,
Et arrive toujours à temps.

Le moyen de la rencontrer,
Si tu n'as pas la patience ...
Il suffit de se jeter,
Détruire ton existence.

Et enfin pour toujours
Pour elle tu meurs d'amour.

Pour la femme parfaite :

La mort.



~liloo~ le 29-02-2008 à 21:57
 

BÊTISE HUMAINE

En chaque personne se cachent deux êtres :
Le Singe peureux et l'Homme évolué.

Singe peureux, depuis toujours nous le sommes.
Il nous pousse à agir comme des bêtes de somme,
Pour une action complètement inutile,
La guerre, activité plutôt futile.
La raison de cette violence est la crainte.
La crainte d'être écrasé par les autres.
Les autres, les plus forts des Singes peureux.
Le désordre fini par entraîner l'ordre,
Mais l'ordre peut aussi générer le désordre.

L'Homme évolué, pour sa part, tarde toujours.
Parfois, il ne sort jamais de sa cachette.
Simplement parce qu'il craint qu'on le rejette.
Pourtant, il est bien plus fort que son contraire,
Car la peur ne le fait pas reculer.
Elle est parmis les ennemis qu'il affronte.
Il l'affronte, mais aussi, il la surmonte.
En la surmontant, il avance et va plus loin.
Ce qui permet aux autres d'en faire autant.

Le Singe peureux et l'Homme évolué.
Ils seront ennemis pour l'éternité.
Les seconds voudraient bien aider les premiers,
Mais ceux-ci sont effrayer par la conscience.
Jamais le monde n'évoluera en harmonie
Tant qu'il y aura l'un de ces craintifs cachés
Par la simple peur de pouvoir évolué.

Pour le moment, le Singe peureux l'emporte,
Mais il n'a pas encore franchi la porte.
L'Homme évolué peut encore le rattraper,
Car justement, lui, il est évolué.



~ssvaklor~ le 01-03-2008 à 00:30
 

LES HUMAINS

Les humains
Entreprise prometteuse...
Surdoués dans un corps fonctionnel

Honte à eux !
Utopie obsédante.
Maladroits, avides de pouvoir
Absurde ! Échouent où la fourmi triomphe !
Incapables de fraterniser sans cris(t) ou rigolo !
Nitroglycérine en tube,
Saloperie d'humanité !



~Lenny~ le 07-06-2008 à 20:59
 

Me voilà une fois de plus pathétique
Sans que je comprenne cette logique
Mes sentiments sont anarchiques
Mon amour énigmatique
Je me suis perdu dans son regard atypique
Et me voilà antipathique
Elle a percé mon cœur flegmatique
Sans peine et d'un air ironique
Elle ma anéanti pour un excentrique
Ma vengeance sera dramatique
Et ma belle reviendra moins fanatique.
Mon amour sera bénéfique
Et ne tombera pas dans un sommeil léthargique
Dois-je tuer cet amour qui me paraît maléfique
Et ne céder qu'à la panique?
Sans elle mon cœur est désertique
Et mes paroles apathiques
Mais mon amour platonique !



~Siegried~ le 04-11-2008 à 18:49
 
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