Fossiles impossibles

Actuellement, on recherche des fossiles d'hominidés dans des lieux géologiques dont les sédiments correspondent aux dates en accord avec la théorie officielle.


Si d'autres hominidés ont existé auparavant, on les trouvera dans des couches plus anciennes, dans un état fossile plus avancé.

Mais si l'on trouve effectivement des fossiles encore plus anciens, cela veut dire soit qu'il faut ajouter une partie plus ancienne à l'histoire de l'homme et donc également revoir son évolution, soit, si l'on continue à proclamer que les premiers hominidés n'ont que 4 millions d'années au mieux, il faut revoir toute la géologie.

C'est sur ces ambigüités que, dans certains états américains, les créationnistes ont obtenu le droit d'enseigner à l'école leur théorie, en la présentant comme plus fiable que celle née du Darwinisme.

Nous devons ce retour à l'obscurantisme moyenâgeux au fait que les scientifiques refusent même d'étudier ces fossiles impossibles sous prétexte qu'ils servent les vues créationnistes.

Une fois de plus, comme pour la parapsychologie, ou bien le phénomène OVNI, le serpent se mord la queue et la place est laissée vacante aux charlatans de tout poil.

Les scientifiques se défendent en nous expliquant qu'une bonne théorie repose sur un vaste éventail de preuves contre quelques exceptions de-ci de-là.

C'est une attitude dogmatique, anti-scientifique car c'est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories.

Voici donc quelques-unes de ces exceptions, ces fossiles impossibles, qui mériteraient une étude sérieuse, même si c'était pour les invalider !

En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite vieux de 15 à 50 millions d'années.
Cet objet fait partie de la collection de l'Académie Minière de Freiberg en Allemagne.

A partir de 1850, divers fossiles de mammifères (du mammouth au bison) ont été remontés d'une mine d'or de Table Mountain près de Needles en Californie.

En 1863, un disque en pierre (à meuler ?) ainsi qu'un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell.

En 1866, M. Mattison, propriétaire d'une mine, dégagea, sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.

Ce crâne âgé de 12 millions d'années est d'un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l'imbrication naturelle des gravats.

Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d'argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman (Colorado). La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d'années.

En juillet 1877, à Spring Valley près d'Eureka (Nevada), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d'un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d'années.

Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d'un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d'une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin (Missouri), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.

Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d'autres restes (un fémur, des vertèbres et d'autres morceaux de bois carbonisés), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
L'âge estimé de ce minerai est de 425 millions d'années.

En novembre 1926, dans le puits n°3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings (Montana), l'archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine (seconde molaire inférieure) dont l'émail s'était transformé en carbone et les racines en fer.
Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d'années.

Cette découverte ne suscita l'intérêt d'aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l'oubli.
En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d'Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane (Italie), la mâchoire écrasée d'un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d'années, cette découverte impossible fut classée sans suite.

En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab (Utah), trouva des morceaux d'os et des dents.
Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d'anthropologie à l'Université de l'Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.

Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporteurs munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d'apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d'années.

Les fossiles furent ramenés à l'université pour une datation, non révélée jusqu'à présent, et le professeur Marwitt fut muté...

En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d'un hominidé âgé de 12 millions d'années, baptisé Oreopithécus.

Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy (Pennsylvanie), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous.

Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde.

Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.

D'autres fossiles pétrifiés d'os de fémur et de tibia furent également mis à jour.

Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au Smithsonian Institute qui refusa de faire une étude poussée. Des os d'hominidés pétrifiés de 280 millions d'années, c'est impossible donc... Sarcasmes, moqueries... Attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.

C'est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.

Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c'est-à-dire que, selon la science officielle, "Dame Nature" aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d'hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l'emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens (visibles seulement au microscope).
Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !

En juillet 2005 M. Mohammed Zagarouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet (Maroc), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d'un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d'années.

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~atb1248~
Publié le : 22/05/2008

 

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~liloo~ le 23-05-2008 à 00:00
 

WOW 360 MILLIONS D'ANNÉES !!!!!!!!!!

Ok.

Pourquoi ne font-ils pas de tests ?!?!? D'habitude, les scientifiques rêvent de ce genre d'étude non ?

Ré-inventer l'histoire de l'homme par ses recherches est une chose que j'aimerais bien faire.



~Donovan~ le 03-06-2008 à 00:00
 
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