Les mots mari et femme

Le sens premier de ces mots dans différentes langues.


Oubliez que c'est un homme qui écrit l'article et regardons l'histoire des maris et femmes.

On retrouve dans notre dictionnaire actuel une définition épurée compatible "mai 68". Car c'est à peu près à cette période que la femme moderne prend son sens.

Mari : Homme uni à une femme par le mariage.
Femme : Epouse (je passe le sens physique).

En retrouvant une "trace" de vieux dictionnaire, on retrouve des définitions assez différentes. A l'époque de Molière on constate dans le dictionnaire de Furetière :

MARI. subst. masc. Celui qui est joint à une femme par un contrat civil pour la procréation des enfants légitimes. Les femmes en France sont sous la tutelle perpétuelle du mari, ne peuvent faire aucun acte non autorisé par leur mari. Le mari est maître de la communauté. Le mari est obligé de donner un douaire à sa femme.

La femme est, elle, définie comme l'évolution de fille, et passe de la tutelle de son père à la tutelle de son mari.

Cette définition tient à peu de choses près jusqu'au début du XXème siècle. A ceci près que l'amour vient progressivement devancer le mariage alors qu'il le suivait auparavant.

On distingue le mari de l'époux, le premier étant le maître et le second l'être aimé.

En russe, on trouve une définition différente du verbe se marier pour l'homme et la femme.

L'homme (muj) "jenitsa" = prend femme.
La femme (jena) "zamujat" = se place derrière un homme.

En anglais :

Husband = House Bondi = le maître de la maison.
Wife viendrait du danois ou du suédois, considéré d'origine inconnue dans les dictionnaires anglais...

En arabe :

Zaouaja est le verbe se marier
Zaouj = le marie
Zaouja = la femme
Il y a égalité dans les termes et chacun reste au travers du mariage indépendant de ses biens.

La religion impose à l'homme de fournir le maximum pour sa femme, de lui assurer sa liberté, il doit assumer le foyer. La femme bénéficie de la protection du mari pour assurer sa réussite et peut ne pas mettre ses biens en communauté.

En pratique, le pouvoir régalien du mari est souvent exploité sans respect de ces principes moraux. La tradition l'emporte sur la religion et la femme est soumise.

Je suis à l'écoute de définitions dans d'autres langues.

 
 
~Sam~
Publié le : 04/12/2007

 

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Pauvres femmes que nous sommes... Toujours à devoir être en retrait... Il serait intéressant de faire une rapide recherche parmi les langues des communautés matriarcales, comme il en existe encore (trop peu) par exemple dans les contrées reculées de la Chine...
Très bon article, Sam. Original pour le moins.



~Melaquablue~ le 04-12-2007 à 00:00
 

Les femmes à l'origine descendent d'Eve d'après les mythologies; en fait la 1ère femme était Lilith mais comme elle a refusé de se soumettre à Adam, Dieu a créé une autre femme venant des côtes d'Adam pour que la femme soit soumise à l'homme (décision que je désapprouve).

Mais sinon bon article.



~Albatros45~ le 04-12-2007 à 00:00
 

Merci !
Un avantage inattendu m'a été donné par une femme :
Par cette relation de subordination, la femme conserve le droit à l'innocence et à l'insouciance. Ce qui est perdu avec l'égalité des sexes.

J'admet que ce droit lui a souvent été difficile à obtenir.



~Sam~ le 05-12-2007 à 00:00
 

Juridiquement, on parle maintenant de "conjoint et conjointe" pour définir deux personnes liées par les liens du mariage. La parité est donc assurée mais il reste cependant les notions de masculin et de féminin face auxquelles les féministes s'insurgeront encore...



~charabia~ le 15-12-2007 à 00:00
 

Deux humains ne seront jamais égaux qu'en droit.

C'est déjà une utopie.

ET SI...

Et si l'on allait plus loin :
Les humains sont libres et égaux en droit et en devoir.



~Sam~ le 21-12-2007 à 00:00
 

Le droit d'un pays, comme la Suisse par exemple, prévoit qu'hommes et femmes sont égaux.
Ils le sont dans leurs droits et leurs devoirs et c'est respecté (à part peut-être dans le monde du travail, où les femmes ont encore un petit effort à accomplir pour toucher le même salaire que celui des hommes, pour un travail égal. Et encore ! Certains secteurs d'activité offrent la parité désormais).

L'ONU a stipulé que Tous les hommes naissent libres et égaux.

L'utopie, elle est là.



~charabia~ le 08-01-2008 à 00:00
 

Les Minangkabau : c'est une ethnie vivant à Sumatra. La ville principale est Padang. Cette ethnie est de type matriarcal.
Les femmes possèdent tous les biens, qu'ils soient terriens, commerciaux ou autres. Cependant, la gestion en revient à l'oncle.
Il y a encore peu de temps, les femmes achetaient leur mari. La pratique existe encore peu plus au sud-est du coté de Palembang.

A noter que kabau (prononcé kabao) en langue minang signifie buffle, le buffle étant utilisé comme animal de labour.



~Agredel~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Tu sais, en Occident aussi, il y a peu, le mariage était de type matriarcal et reposait sur ce qu'apportait la femme lors de son union avec un homme... On parlait de la dot en argent, en terres, en biens que cédait son père, et du trousseau constitué de tout le linge de maison, qu'elle devait obligatoirement mettre dans la corbeille de mariage.

Si la femme était moins riche que l'homme, on parlait de "mésalliance", avec tout ce que peut apporter de dramatique ce terme, si par extraordinaire, les deux époux s'aimaient vraiment, avant le mariage...

Même si le régime était matrimonial, c'était les intérêts que l'homme retirait du mariage qui étaient pris en compte par sa famille.

La notion d'amour était éloignée du contexte du mariage. Si, si, c'est vrai... Demandez à vos mémés, les jeunes... Pas vos arrières-arrières grands-mères, mais à vos mémés de 60 ans... Il n'y en a pas beaucoup qui se soient mariées par véritable amour, vous savez... Mais bon, elles ont pu aimer vos pépés par la suite, c'est tout à fait possible et concevable.

Ajoutons que les dépenses occasionnées par le mariage (cérémonie, repas, etc.) étaient prises en charge par la famille de la mariée, les parents et amis du marié étant considérés comme des invités.

A noter qu'en Italie, le mariage se dit encore "matrimonio", qu'on pourrait traduire par "matrimoine", par opposition à patrimoine, si ce terme existait dans la langue française.

Les mariages uniquement d'amour, ici en Occident, où les époux ne s'apportent que leur amour et l'envie de vivre ensemble ne datent pas de si longtemps... à peine 30 ou 40 ans. Et depuis, il y a un taux de divorces incroyable.

Allez, on va résumer ce dernier phénomène de façon humoristique... Avant, on se mariait et on apprenait ensuite à s'apprécier ou à s'aimer. Maintenant, on s'aime avant de se marier et après on apprend à se désaimer.



~charabia~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Sans doute parce que les notions de famille et de devoir, ou de responsabilité, ont évolué dans ce sens. A moins qu'on ne les ait tout simplement bannis.



~Agredel~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Peut-être... Bien que ce ne soit pas mon avis. Je pense personnellement que le fait de fonder une famille est plus aujourd'hui en corrélation avec l'amour qu'on porte à son conjoint ou sa conjointe qu'auparavant... Avant, c'était pour assurer la succession plus qu'autre chose.

Le fait qu'on divorce énormément aujourd'hui, c'est certainement que la notion de fidélité est toujours très présente, très demandée, très recherchée mais qu'elle ne peut plus être respectée, à cause de la libération des mœurs sexuelles.

Auparavant, les femmes étaient trompées mais se taisaient, par honte, par peur de se voir rejetées et de se retrouver seules avec leurs enfants. Ce qui ne leur enlevait pas le besoin d'être respectées, que ce soit clair... C'était dans les mœurs, elles se taisaient, encaissaient. Il faut dire aussi qu'un homme qui trompait sa femme était un chaud lapin, un joyeux drille, tandis qu'une femme qui trompait son mari était une sa***, une p***...

Maintenant, les femmes n'admettent plus ce diktat domestique. Elle sont toujours traitées de sa*** ou de p*** quand elles trompent leurs maris et elles s'en foutent. Mais surtout, elles osent se défaire de quelqu'un qui ne leur convient pas.

Il ne faut pas oublier que le mariage est toujours basé sur le respect et la fidélité qu'on doit à l'autre.

Bon, il y a des hommes qui trompent physiquement leurs femmes, mais qui leur sont fidèles moralement, qui ne les lâcheront jamais ! Demandez à toutes ces maîtresses d'hommes mariés !

Ah que la chair est faible...

Ce qui est dommage, c'est qu'effectivement les enfants trinquent quand ce sont les parents qui boivent...



~charabia~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Et les femmes qui trompent leurs maris, ça date d'hier peut-être ?



~Malamati~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Ah la la... Je n'ai jamais dit que les femmes ne trompaient pas leurs maris... J'ai même dit qu'elles étaient traitées de tous les noms ! Les maris les jetaient, tiens !
Aujourd'hui, c'est pareil !

(Je veux ajouter quelque chose... Il n'y a pas si longtemps, par exemple du temps où moi j'étais enfant, dans les années 50... Lorsqu'une femme se retrouvait seule, divorcée, avec ou sans enfant, la première chose qui se disait, en parlant d'elle, c'était : "qu'est-ce qu'elle a bien pu faire pour qu'"Il" divorce ?" Ou alors elle était regardée de façon méprisante et on disait d'elle : "c'est une divorcée"...
En fait, on ne se demandait jamais ce que lui, le mari, avait bien pu faire... Et si on apprenait que c'était la femme qui avait demandé le divorce, on disait : "elle a un amant"...)



~charabia~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Les temps ont bien changé... Est-ce mieux ? Je ne crois pas, non.
Comme tu dis "elles osent"... Ce n'est pas "oser" à mon avis, c'est plutôt ne plus faire l'effort du respect mutuel, ne plus laisser de place au pardon, ne plus se considérer comme un couple mais comme deux individus réunis à un certain moment, une conséquence de l'individualisme, du nombrilisme grandissant.
C'est valable dans les deux sens. Ce n'est donc pas quelque chose de plus de gagné, mais quelque chose de plus de perdu.



~Malamati~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Quoi, laisser la place au pardon ? Plus tu pardonnes, plus tu dois pardonner ! Il y a un moment où il faut bien dire stop, non ?
Valable dans les deux sens. Quand tu es le mari ou la femme de quelqu'un qui t'a trompé, battu une fois, attends-toi à l'être encore.

Si ce que tu vis en couple ne correspond pas à ce que tu attendais de l'engagement pris dans le mariage, casse-toi dès la première tromperie, le premier coup. C'est mon conseil à celles et ceux qui vivent le calvaire d'une relation basée sur les rapports de force.

Même chose pour les couples non mariés. Il ne faut pas rester avec quelqu'un qui impose sa propre loi ou qui rompt des engagements pris. Le chagrin d'une rupture rapide sera moins grand, moins long que celui d'une vie gâchée...
Mais comme le suggère malamati, on peut accorder le pardon quand même.



~charabia~ le 02-03-2008 à 00:00
 

Je ne parle pas forcément de l'infidélité... qui découle déjà plus ou moins de ce manque de respect, de compassion et de concession nécessaires.
Sûr qu'à l'infidélité, c'est déjà souvent trop tard.

Non je ne pense pas que la majorité des séparations soit due à l'infidélité. Avec les mœurs actuelles, je me demande même si ça n'amplifierait pas la force de l'engagement.... Vivons dans l'orgie permanente et peut-être que "saoulés de sexe" on repenserait un peu au reste ! Un peu comme ces couples qui trouvent leur bonheur dans les clubs échangistes.

Les séparations se font le plus souvent sous l'impulsion de la "femelle", galvanisée par le féminisme qui leur demande de s'"affirmer" en s'éloignant complètement de leur rôle biologique, privilégiant leur carrière, et qui ne font strictement plus rien dans un foyer (exemple à la noix mais si représentatif : quelles sont les femmes qui sont capables de cuisiner autre chose que des surgelés, qui repassent encore les chemises de leurs maris ? Chez les jeunes de 18-25 ans on doit approcher des 0%... Avec peut-être quelque survivance chez les vieilles familles chrétiennes ou les intégristes islamistes !), sous prétexte d'égalité.

Portées par cette sous-culture féministe alimentée par ces magazines remplis de pub, et appuyée par cette littérature "psy-fesses" débile (Christine Angot par exemple), les femmes en sont devenues incapables de tenir un foyer, une famille. Et croyant rétablir l'égalité des sexes, jouent un rapport de force qui n'existe pas (en croyant copier les hommes, voir le "look" des féministes intégristes... Christine Angot !) et ne vivent que par leurs désirs de jouissance via la consommation de produits inutiles. Du pain béni pour notre société ultra-libérale (issue d'ailleurs de mai 68... Tiens donc !).

On comprend mieux pourquoi le jeu actuel consiste à féminiser de plus en plus les hommes.

Que le mariage ne soit pas un frein à la séparation est logique, vu le peu de valeur qu'on lui accorde... C'est soit pour se faciliter la vie administrative et financière, soit parce que cette demi-péripatéticienne (!) qui se croit princesse rêve absolument de robe blanche à l'église...
Le mariage est d'autant plus dévalorisé qu'il est en passe d'être autorisé pour les couples homos...

Bien aidés par la société de consommation et la surmédiatisation d' "artistes" (et maintenant même les hommes d'Etat) à moitié débiles mentaux qui font leur buzz dans Gala avec 3 mariages par an, et autant de divorces, que les imbéciles s'empressent de copier.

Et les lois suivent bien la tendance (au lieu d'être garantes de la stabilité de la société...) en "décomplexifiant" les procédures de divorce.

Je dois dire que tout ça m'exaspère. D'autant plus lorsque les dégâts sur la société sont niés.



~Malamati~ le 03-03-2008 à 00:00
 



Mais, malamati, tu crois quoi ? Que l'orgasme ne doit rester que l'apanage des hommes ? C'est fini le temps où la femme se pliait au devoir conjugal sans rien dire, après être passée aux casseroles pour remplir le ventre de son mari !

Figure-toi, malamati, que la femme peut éprouver du plaisir et infiniment plus longtemps que l'homme ! C'est quand même bien un droit qu'elle peut se prendre, non ? Tant pis si ça te dérange ! Mais quand tu seras grand, tu comprendras mieux.



~charabia~ le 03-03-2008 à 00:00
 

Tiens un nouveau mythe féministe maintenant : les femmes ne prenaient pas de plaisir avant 1968... On aura tout lu !

Enfin j'espère que c'est pas tout ce que tu as retenu de mon texte.

Plus sérieusement, il faut bien voir que la société se féminise, les rapports hommes/femmes sont désormais déséquilibrés, puisque même si en façade (ego oblige) l'homme affirme sa prétendue supériorité (en témoignent les définition de mari et femme), dans la réalité il en va totalement autrement. Il n'y a qu'à voir les couples de vieux : c'est TOUJOURS la femme qui tient la culotte.

Cette illusion de dominance laissée aux hommes faisait d'ailleurs la force des femmes, et elles prenaient le dessus par la psychologie.

Il y a donc aujourd'hui un vrai déséquilibre, qui se manifeste dans la loi : les femmes obtiennent toujours des avantages lors de divorces ainsi que la garde des enfants ; la parité, en politique par exemple, est une grande escroquerie puisque les compétences ne sont plus l'unique critère de sélection, etc.
Sans parler de l'égalité des salaires, qui peut paraître logique à première vue, mais qui renverse totalement l'équilibre du couple (plus d'illusion possible) et donc de la famille. D'autant qu'au restaurant, c'est toujours l'homme qui paye... (ce qui exclut du jeu de la séduction les pauvres... Là aussi les conséquences peuvent être graves)
On constate dans la société de plus en plus d'hommes ayant peur des femmes.
Et on en voit les dégâts sur l'éducation.

Le plus consternant est que ce phénomène, loin d'être naturel, a un but exclusivement économique.
En effet, les femmes consomment beaucoup plus que les hommes... Et poussent ces derniers à consommer.

Autre conséquence : la dépolitisation de la société. Les études démontrent que les femmes s'intéressent bien moins à la politique que les hommes, et lorsqu'elles le font, c'est la plupart du temps sur des questions sociétales très éloignées des vrais questions politiques.

Les conséquences de cette dérive sont multiples et font des femmes, sous le prétexte de gagner en liberté ( ), de véritables valets de la société de consommation.



~Malamati~ le 04-03-2008 à 00:00
 

Quand j'ai écrit cet article, je voulais montrer l'évolution des moeurs en matière d'union.
Le passage de la période "mariage pratique" à "mariage d'amour".

Je réagis à plusieurs commentaires.
"Libres et égaux" :
Je ne trouve pas que nous naissions libres même en France ou en Suisse. Nous naissons dans un système républicain décidé par nos ancêtres. Nous somme dans un système fut un système de droit, mais comme nous n'avons pas le choix d'y être ou d'en sortir, nous sommes enfants de ce système par la force, et donc ce système n'est plus de droit.
Quant à l'égalité à la naissance, dans de potentiel que de fait... Ce n'est pas l'écrire qui le rend réel !

Le mariage d'amour et le divorce :
J'émets l'hypothèse que l'amour n'est pas une bonne raison pour se marier.
Le mariage est un engagement social qui se fait dans la durée. Il sous-entend un accord de mise en commun des biens (même si on peut l'éviter), un objectif de vie commune sinon compatible et une descendance (pour l'homme comme pour la femme).

L'adultère :
Il est très difficile de réussir un mariage avec l'adultère admis dans le couple.
Je donne comme Charabia le conseil de rompre dès le premier écart et ce, même si le mariage est vieux et les problèmes conséquents. Plus vous attendrez, et plus les problèmes seront graves et la douleur grande. Parce que si vous l'avez admis une fois, il y aura une autre fois.
Donc admettre un adultère c'est admettre un mariage qui en aura d'autres. A ne faire que si vous êtes capable de bien le vivre.

Le devoir conjugal :
Lui aussi a évolué !
On m'a raconté comment l'ont vécu mes grands-mères et arrière-grands-mères, et c'était inhumain.
D'un autre point de vue, laisser un homme ou une femme sans plaisir pendant une longue durée est un supplice.
Je trouve que le devoir conjugal doit encore exister et être réciproque. La femme comme l'homme doit être à l'écoute de l'autre, sentir le désir et parfois le besoin, et faire de son mieux pour les satisfaire avec amour. Mais c'est le devoir de faire de son mieux, pas de le faire tout court. Quand c'est bof, c'est oui, mais quand c'est non, c'est non !

Comme les femmes qui témoignent ici ont l'air de croire qu'elles sont les seules à faire un effort j'en appelle au témoignage des hommes ; avez-vous comme moi eu des jours où vous l'avez fait juste pour faire plaisir à madame ?
Et puis la longueur de l'orgasme me fait rigoler autant que les concours pour savoir qui pisse le plus loin ) Si Charabia se met à la provoc'...

La relation homme/femme :
Le changement des mœurs redéfinit la relation homme/femme.
J'avoue avoir eu du mal à trouver ma place dans le mode de vie moderne. Les anciennes places ont été détruites, mais on dirait qu'il n'y a pas les nouvelles chaises, alors on reste debout !
Alors je donne deux avis, le mien en tant qu'homme sur les femmes :
Les femmes qui plaisent sont les femmes qui se sentent bien dans leur peau. L'apparence aide mais n'est pas le plus important. On aime également que vous preniez soin de vous.

Et l'avis d'une femme mûre :
Un homme doit être un peu macho (dans le sens viril) pour plaire. Le plus difficile étant d'être courtois mais fort.
Malgré tout, il semble que la femme aime se sentir protégée.
Ce n'est pas pour rien qu'elles préfèrent les grands.
Il doit céder aux petits caprices mais rester ferme quand ça déborde pour toujours garder sa dignité. On gagne une femme en disant oui à tout, et on la garde en disant non parfois.



~Sam~ le 10-03-2008 à 00:00
 
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