Taihei

Mon utopie se situera sur Terre, aux alentours du siècle zéro pour le calendrier Romain.




La citadelle constituera le lieu physique et géographie de l'utopie. Cette citadelle, qu'on nommera Taihei (qui veut dire paix, tranquillité en japonais) se situe sur le col d'une colline dont le centre est creux. Le cercle clair représente les bâtiments (habitations, universités, bâtiments officiels, etc.)

Présentation générale :

Au centre en vert, encerclé par la monté et la citadelle circulaire, il y a l'agriculture ainsi que le bétail.
Les 4 axes sont des ponts qui permettent d'aller à l'opposé de la ville sans perdre le temps de faire tout le tour.
Le cercle orangé est une muraille de plusieurs mètres de hauteur avec très peu de portes.
Elle est assez éloignée pour éviter tout projectile ennemi venant de l'extérieur de ce cercle.
Il existe 4 postes (Nord, Sud, Est, Ouest) qui permettent de faire du commerce sans avoir à franchir le périmètre de sécurité. Comme ça la ville n'est pas totalement en autarcie, et maintient un lien commercial (et par ce biais diplomatique) avec l'extérieur.
Il existe un tunnel qui arrive directement dans la ville du mercenaire la plus proche. Il est facile d'entrer dans ce tunnel à partir de Taihei, mais ne peuvent entrer à partir de ce tunnel que les mercenaires (en temps de guerre seulement) ainsi que les habitants de Taihei.

Un système d'égouts existe, qui se déverse à l'extérieur du cercle orangé.
La ville n'étant pas "regroupée" mais dispersée à cause de sa disposition en cercle, la chaleur se fait moins sentir par rapport à une ville normale. Pour contrer cela, les habitations sont rapprochées et un système de chauffage de rue intégré dans le trottoir (existe réellement en France).

Lors de fortes pluies, la partie culture et bétail serait inondée. Il existe donc un toit mobile qui se loge sous les ponts lorsqu'il y a du soleil, et qui se déplie (manuellement, c'est au temps des Romains) pour que la pluie n'atteigne pas directement cette zone. La pluie se déverse donc sur les flancs convergents de la colline qui a été creusée de façon à dévier l'eau.

Population :

Il y aura un nombre constant maximum d'habitants pour éviter la surpopulation, mais il n'existera pas de minimum. Les habitants sont libres de partir s'ils le souhaitent. Cela évite que certains soient retenus de force car cela ne serait pas un point positif (tout le monde peut comprendre pourquoi, je pense).
Pour pouvoir entrer, si la population n'a pas atteint son maximum, il faut correspondre à certains critères :

  • Ne jamais avoir tué, violé, volé.
  • Etre en fin d'adolescence au minimum.
  • Etre capable de travailler quelques années ou avoir de la monnaie pour vivre la fin de sa vie.
  • Etre stable psychologiquement (état psychologique défini par un test), si possible avoir un minimum de sagesse.
  • Ne pas être en fuite ou être recherché par d'autre cités/nations.

Plan :

La ville contient les ateliers (forges, écuries..) qui font du bruit et ou qui créent des désagréments pour la vie privée dus au bruit, aux odeurs... à l'opposé des habitations. De façon à ce que les personnes ne soient pas dérangées, puissent dormir pendant leurs jours de repos, et se reposer ; être tranquille sans bruit gênant.
Entourant les ateliers cités ci-dessus, les commerces (bruyants eux aussi, mais moins), puis ensuite il y aura les bâtiments officiels (traitant de la diplomatie, de fixer les prix, de voir qui peut entrer dans Taihei parmi les postulants, et qui s'occupent de gérer les fêtes, le tour de rôle des habitants qui changent pour les métiers). Ensuite ce sont les lieux d'études qui viennent avec les bibliothèques.

Métiers :

Comme lu précédemment, il existe un tour de rôle pour pratiquer les métiers.
Tous les habitants ayant atteint de l'âge de travailler, effectuent un roulement, à l'exception faite de ceux qui aiment vraiment un métier et qui souhaitent le garder.
De cette façon, tous les habitants acquièrent un savoir et une expérience dans divers domaines. De plus, cela évite que la routine ne s'installe et que certains se lassent de leur travail. La routine est le pire ennemi de la bonne humeur.
Les groupes de personnes faisant le même travail changeront aussi. Cela permet de faire de nouvelles connaissances et donc d'éviter d'avoir toujours les mêmes ami(e)s, ce qui est néfaste pour le moral (d'après l'étude d'un psychologue).

 
 
~lwa~ Publié le : 11/03/2008

 

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